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Ma femme m’accueillait nue quand je rentrais de voyage

J’avais 38 ans quand ma femme et moi nous sommes connus. Elle en avait 32, jeune, fraîche et adorable.

Nous avions aménagé ensemble, non pas, pressés de nous marier, car je venais de sortir d’un divorce qui m’avait déchiré.

Cette fille était un ange. Elle m’avait très vite apporté la joie et l’espoir. Avec elle, mes douleurs avaient vite disparu et ceci à raison. Elle savait s’y prendre pour cajoler un homme.

On disait que les femmes ne savaient pas garder la flamme dans le couple mais « Néta » en était l’exception.

Je voyageais beaucoup à cause de mon travail mais à ma grande surprise, lorsque je rentrais à la maison, elle m’accueillait, tenez-vous bien, toute nue, parfumée et couverte de perles sénégalaises.

Je rentrais épuisé et quelques fois, démotivé par les conclusions de mes missions, mais la voir ainsi si belle, coiffée, maquillée et accueillante, j’en oubliais le travail.

Elle coulait du bain, parfumait toute la maison. Sur la table à manger, mes plats préférés et lorsqu’elle me prenait la main et me guidait jusque dans notre chambre, c’était le paradis sur terre.

Elle me douchait elle-même et pendant ces moments coquins, nous débriefions mes missions.

Elle m’embrassait et me tenait comme un petit enfant. Au départ, j’en étais très intimidé, mais à force de me laisser aller, je pris un réel plaisir à vivre ces choses comme un don du ciel.

C’était même devenu ma plus grosse raison de vite rentrer. Elle m’envoyait des messages dans lesquels, elle me montrait ses nouvelles lingeries et laissait un mot «si tu gagnes ce marché, tout ceci serait à toi, je compte sur mon mari pour tout casser, sa récompense sera très grande…».

J’en perdais mes mots. A chaque retour, elle avait toujours quelque chose de nouveau à m’offrir. Je comprenais que l’amour c’était tout autre chose.

L’amour ce n’était pas ce que j’avais connu avec mon ex-femme. Ici, « Néta » était ce que je pouvais appeler la perfection. Elle savait tout prendre de moi. Elle adorait ces jeux et pour confidence, lorsqu’une femme me faisait des yeux doux dehors, je riais parce que ma femme était tout en un, mon amie, ma meilleure amie, ma confidente parfaite, ma pute et ma partenaire de crime. Elle était ma force en un mot.

Jamais, je ne l’avais vu mine renfrognée. Je sais que je n’étais pas un homme facile, mais elle avait cette patience dont je ne voyais jamais la provenance, car elle était une jeune femme, très agitée et souriante. Elle avait beaucoup d’énergie.

Au bout d’une année, je commençai à me rendre à l’évidence. « Néta » était la femme de ma vie. Je ne voyais plus ma vie sans elle. Elle avait ses activités que je l’aidais à gérer. Elle voulait que je sois là pour elle et pour cela, elle demandait mon avis pour tout et me responsabilisait.

Quand par exemple, elle souhaitait ouvrir une nouvelle boutique, elle attendait mon retour pour me présenter un projet rédigé entièrement par ses soins. Je devais tout relire et poser des questions. Elle créait toujours le moment propice. Des fois, elle m’amenait en week-end, et c’est tout au fond de la nuit que nous parlions de ses projets.

J’avais envie lorsque je rencontrais ses parents, de leur dire MERCI pour la vie de leur fille, mais surtout pour son éducation. Elle était jeune, innocente et si parfaite.

Pour la première fois de ma vie, je bouclais deux années sans avoir touché aucune autre femme, alors que par le passé, ce n’était pas le cas. « Néta » était mon tout.

Au cours d’un de mes voyages, je rentrai dans une bijouterie et en sortis une bague en or, sertie de diamants.

Je voulais demander la main de ma reine. J’étais certain d’avoir fait le bon choix. Je rentrai à l’hôtel, tout heureux, l’imaginant sauter à mon cou lorsque je lui ferai la demande.

J’organisai depuis Istanbul, un dîner avec nos amis proches et ses parents. Elle ne devait rien savoir du tout alors j’insistai pour que tous gardent le silence.
J’avais fait le tour des boutiques, j’étais reconnaissant envers Dieu. Je renaissais, je revivais, j’étais comme un petit garçon. 40 ans et si amoureux, c’était utopique à la base.

Le jour de mon départ, j’échangeai avec elle pendant plus d’une heure. Nous avions parlé de tout et de rien. Elle me disait qu’elle irait voir le docteur car depuis la veille, elle ne se sentait pas bien. Elle me rassura,

  • Ça ne peut-être qu’une indigestion, j’ai mangée des crevettes la veille.
  • Tu manges un peu trop ces fruits de mer mon amour.
  • Voilà ce qui arrive quand tu n’es pas là pour me contrôler.

Nous avions ri à ses blagues et je lui avais souhaité une bonne suite avant d’embarquer impatient de la retrouver.

Dans l’avion, à un moment donné, je fus réveillé par une sorte d’inconfort interne. Je me levai et me rendis aux toilettes mais la sensation ne me quitta pas. Je me remis sur mon ordinateur pour me concentrer sur mon rapport à fournir une fois rentré.

J’étais comment dire, angoissé, mal à l’aise. A l’atterrissage, je fus pris dans les formalités sanitaires parce que Covid-19 sévissait déjà assez. Je n’appelai pas ma femme de suite.

Une fois sorti, je pris mon téléphone, batterie faible. Je m’empressai de prendre le premier taxi, direction maison.

La domestique et le gardien m’accueillirrent, mais ma femme n’était pas à la maison.

  • Madame est partie à l’hôpital il y a quelques heures Monsieur. Elle n’est pas encore revenue.
  • A l’hôpital ? Ok, rentrez les affaires.

Je pris mon chargeur que je connectai au téléphone dans mon véhicule et pris la direction de la clinique. Une dizaine de minutes après, j’allumai le téléphone et vis des appels en absence.

Quelque chose n’allait pas. C’était la toute première fois de notre vie que « Néta » n’était pas à la maison à mon retour de voyage. Je regardai les appelants, il y avait son père, son grand-frère, mon docteur…

J’appelai le docteur avant tous. Je voulais savoir ce qui n’allait pas.

Il ne décrocha pas alors j’appelai son père qui décrocha à la seconde.

  • Mon fils, tu es déjà rentré ?
    Dit-il sèchement.
  • Oui papa, j’éssaie de joindre « Néta » sans suite, un problème ?
    Elle n’était pas à la maison quand je suis rentrée.
  • Tu es où ?
  • En route pour la clinique. La domestique m’a dit qu’elle s’y était rendue cet après-midi.
  • Oui, nous y sommes sa mère et moi. On va t’y attendre…

Puis il raccrocha.

Je n’étais pas du tout en paix avec moi-même. Quelque chose de grave se passait mais pourquoi personne ne me disait rien et pourquoi je ne pouvais pas parler à « Néta » ?

Une quinzaine de minutes après, je stationnai devant la clinique et descendis en courant jusqu’à la réception, où je retrouvai mes beau-parents.

Ma belle-mère était en larmes. Je fus couvert de sueurs froides. Mon cœur se mit à battre. Mon beau-père marcha jusqu’à moi et m’amena dehors.

  • Fiston, ta chérie ne va pas bien. On nous a appelé de l’hôpital, car elle venait d’y arriver, mais dans un mauvais état.

Elle se plaignait de maux de ventre et avait vomi des caillots de sang. Elle a donc été admise aux urgences. Nous attendons les docteurs.

  • Je ne comprends pas, il s’est passé quoi ?
    Elle allait bien, nous nous sommes parlé avant que je n’embarque. Je vais voir ces foutus docteurs, ils traînent de trop, ce n’est pas normal.

Je le laissai planté là et marchai jusqu’à la porte du docteur en chef, mais le bureau était vide. J’accostai un infirmier dans le couloir et lui demandai ce qui se passait.

  • Monsieur, patientez s’il-vous-plait, le docteur ne va pas tarder, il est avec la patiente.

Je devenais fou, je le sentais. Quelque chose de grave était en train d’arriver à ma « Néta », mais personne ne voulait rien me dire.

La chambre dans laquelle elle avait été admise, l’accès était interdit à tous, y compris moi.

Je restai donc en face, à attendre qu’un docteur en sorte.

Une trentaine de minutes après, deux infirmières sortirent en courant, c’était plus que je ne pouvais supporter alors je fonçai dans la salle sans m’annoncer et découvris « Néta », allongée sur un lit au centre de la pièce avec des appareils tout à ses côtés.

Du peu que j’avais pu voir, elle avait une sorte de tuyau dans la bouche et était inconsciente.

L’un des docteurs qui me reconnut, me fit sortir et referma la porte derrière moi.

J’eus la nausée et couru aux toilettes. J’y fondis en larmes couvert de peur. Je n’avais jamais autant eu peur de toute ma vie. « Néta… »

J’y restai une dizaine de minutes, à ma sortie, je vis au loin dans le couloir, le docteur parler à la famille, ma belle-mère s’écrouler dans les bras de mon beau-père.
Je crus flotter dans l’air, je ne saurai dire si j’avais marché de moi-même jusqu’à ce docteur ou pas, tout ce que je peux dire est que j’avais été en une fraction de seconde assez proche pour l’entendre dire : «c’est trop tard, nous avons tout essayé, mais elle n’a pas pu tenir…».

Je fonçai dans la salle, ils étaient en train de déconnecter les machines…
« Ma Néta » était allongée sur la table, le visage à découvert.

Elle dormait je crus. C’est ce que je voulais croire.

Je la secouai de toutes mes forces. Les docteurs à ma suite, ils étaient en train de me parler, mais je n’entendais rien d’autre que ma voix en train de l’appeler de toutes mes forces.

Ma vie avait perdu son cap, j’étais en enfer.

Ils l’amenèrent avec eux, sous nos yeux, je n’arrivais pas à y croire.

Je ne fermai pas l’œil pendant plus de trois semaines, je n’arrivais pas à croire qu’on puisse mourir aussi facilement.
Une intoxication alimentaire ?

Perdre l’amour de sa vie sans même lui avoir dit à quel point je l’aimait ?

Je me suis enfermée dans notre chambre des jours entiers, allongé sur notre lit, à sa place à revivre chacun de ses sourires.

Je la voyais me parler, faire la petite folle, rigoler aux éclats ?
Les cadeaux que je lui avais ramenés étaient encore dans les cartons au pied du lit.
La bague, la bague était ma plus grande douleur.

J’avais un soir au cours d’une réunion familiale, demandé à son père de m’acorder la main de sa fille. Oui, je voulais épouser « Néta », avant qu’elle ne soit enterrée.

Ce fut des larmes, cette cérémonie de dot, que des larmes mais je le lui devais. Elle était l’amour de ma vie.

Le jour de son enterrement, je lui avais mis la bague au doigt, avait reposé sa main, l’avais regardé longtemps. Je voulais qu’elle sache qu’elle avait été la plus belle chose de ma vie.

Sans enfant, sans mariage, « Néta » était partie ainsi…
Je ne sais pas si un jour je m’en remettrai, mais cette douleur est la plus difficile et horrible au monde. Perdre l’être le plus cher de votre vie sans rien voir venir…

Si vous vous retrouvez en couple,
Aimez chaque jour,
Prouvez votre amour,
Ne remettez rien à demain, parce que demain n’existe pas.
Aimez l’innocent en vous,
Marchez main dans la main,
Soyez complices,
Soyez un couple amoureux.
Ce n’est pas toujours parfait, mais quand viendront les problèmes, dites-vous que tout ça n’en vaut pas la peine parce que vous pouvez perdre l’autre à n’importe quel moment !
Alors aimez et ne faites que ça…
LA VIE EST COURTE ET CRUELLE.

« Néta » et moi étions en parfaite harmonie, nous n’avions pas de problème,
Mais en laissant ce témoignage ici, je veux parler à un couple qui se déchire à cet instant.
As-tu parlé à ton homme ou à ta femme aujourd’hui ?

Il y a des incompréhensions et il y en aura toujours, mais c’est votre amour qui vous sortira de là.

Comment devenir un très bon séducteur

Devenir un très bon séducteur et avoir la femme de nos envies, c’est notre but à tous non ?

Hélas, dans la majorité des cas, cela reste dans le domaine du rêve. Si nous ne nous ressaisissons pas, on risque bien de rester à ce stade excitant de tous les émois, mais frustrant aussi dans la majorité des cas. Il faut bien se le dire.

D’ailleurs, tout homme passe par cette période où les femmes semblent inaccessibles et ignorantes à nos avances, nos souhaits.

Qui est-ce qui n’a jamais souffert pour une femme ? Qui n’a jamais voulu aborder une femme, mais est resté sur place paralysé par la peur ? Qui n’a jamais voulu aller parler à une femme, mais ne trouvait pas les bons mots ?

Je commence par cet article d’introduction une série d’articles.

Cette série se veut le début d’une solution…

En effet, il couvre les 6 principes fondamentaux en séduction et même dans votre vie en général. Car ne l’oubliez pas, apprendre la séduction, c’est aussi apprendre un nouveau mode de vie, une nouvelle façon de voir les choses. Les répercutions seront majeures sur toutes les sphères de votre vie.

Je veux vous enseigner l’état d’esprit du séducteur. Vous devez apprendre à intérioriser les concepts.

Cette série n’est pas un concentré de techniques de drague puisqu’elles seraient absolument inutiles pour le moment. Chaque chose en son temps.

Vous devez apprendre à penser séduction d’abord sinon c’est l’échec assuré.

La séduction s’apprend comme n’importe quoi d’autre.

Ecoutez, il est inutile de penser que vous devez pour ce faire, être un millionnaire ou encore avoir le physique d’un mannequin. Tout cela n’est pas vrai. C’est dans votre lifestyle, votre comportement, votre mentalité et vos techniques que vous aurez à travailler.

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Voici une méthode naturelle de régulation des naissances

Les méthodes de contraception nuisent à l’organisme, alors voici pour vous une méthode naturelle.

Moins connue, mais pourtant forte d’un potentiel très intéressant, la méthode Billings a été inventée dans les années 50 par John Billings, en Australie. John Billings découvrit le rôle de la glaire cervicale dans la fécondité, au moment même où Pincus, aux Etats-Unis, expérimentait les effets de la pilule oestro-progestative. La méthode de John Billings se base sur l’observation et le repérage de la glaire sécrétée par le col de l’utérus (aussi appelée glaire cervicale) et qui permet à toute femme de savoir avec précision le moment de son ovulation et donc, sa période de fécondité. Cette fécondité peut énormément varier d’une femme à l’autre. C’est la glaire cervicale qui est le signe de la fécondité et c’est grâce à elle que les spermatozoïdes seront, ou non, présents dans la trompe utérine au moment de l’ovulation.

« J’ai de la glaire, je suis féconde. »

Surveiller sa glaire cervicale, tel est le réflexe que la méthode permet d’acquérir. La glaire sécrétée par le col de l’utérus change le pH du vagin. Lors de la période ovulatoire, elle est moins acide et rend donc le vagin plus accueillant pour les spermatozoïdes. À mesure que l’ovulation approche, la glaire devient plus filante et transparente, elle ressemble à du blanc d’œuf et devient plus abondante à mesure que l’ovulation est imminente. Aux autres moments du cycle, elle est plus épaisse et collante, elle peut même avoir un aspect grumeleux.

La méthode Billings est basée sur l’observation de deux choses : la sensation, tout au long de la journée, procurée par la glaire quand elle s’écoule au niveau de la vulve (organe externe) et l’aspect visuel de la glaire, que la femme peut constater sur le papier hygiénique par exemple, quelques fois par jour seulement. Le suivi de la sensation est donc l’observation la plus importante dans la méthode. Cela s’apprend très bien.

Le plus important dans la méthode est le suivi de la sensation. Il faudrait dire l’évolution de cette sensation plutôt que l’aspect visuel. Après la menstruation, la femme va en général avec quelques jours pendant lesquels elle va se sentir sèche à la vulve et ne verra rien. Puis, un jour elle va ressentir la présence de glaire ou pourra la voir. Au fur et à mesure que les jours passeront et que l’ovulation sera proche, la glaire va donner une sensation de plus en plus lubrifiante et de glissement. Le dernier jour de sensation de glissement repéré donc le lendemain par un tarissement brutal dans la sensation va permette à la femme de dire : « C’était hier mon jour Sommet », celui –ci étant le mieux corrélé avec l’ovulation.

Certaines femmes utilisent la méthode Billings en prélevant un peu de glaire au fond du vagin avec le pouce et en testant sa texture. Si la glaire s’étire entre le pouce et l’index de plus de 5 cm, la femme est féconde. Tout rapport sexuel est alors à proscrire – si une grossesse n’est pas souhaitée – et ce jusqu’à trois jours après le changement de texture ou la disparition de la glaire.

Mais les puristes de la méthode estiment que toucher la glaire n’est pas nécessaire. Tout est basé sur la sensation comme indiqué précédemment. Par ailleurs, aller chercher la glaire au fond du vagin ne serait pas très hygiénique avec des risques d’infection. Or ceci n’est pas nécessaire.

La méthode Billings en quelques mots

Les règles d’utilisation de la méthode Billings sont donc basées sur le repérage de la glaire féconde. John Billings a codifié des règles d’utilisation précises, selon qu’on se trouve avant ou après l’ovulation. Si on souhaite avoir un enfant, c’est pendant la période de glaire féconde qu’il faut avoir des unions sexuelles. Si on ne recherche pas de grossesse, il faut s’abstenir de toute union pendant les périodes « humides » et appliquer des règles de prudence spécifiques (pas d’union pendant les règles, plutôt le soir et pas le matin, unions un jour sur deux). Toute sensation d’humidité doit entraîner une abstinence de trois jours.

Vraiment efficace ?

L’indice de Pearl est une méthode utilisée pour calculer la fiabilité d’un moyen de contraception féminine ou masculine. Il correspond au nombre de femmes qui tombent enceintes alors qu’elles utilisent une contraception donnée pendant une durée d’un an.

On calcule l’indice de Pearl selon une formule complexe, à partir de valeurs déterminées lors d’essais cliniques.

L’indice de Pearl correspond à la fiabilité d’une contraception si elle est utilisée de façon optimale. La méthode Billings a un indice de Pearl de 1% ce qui est un bon indice; la méthode semble donc fiable. Et s’il y a des échecs, ils sont souvent dus à une mauvaise lecture de la glaire, à un cycle irrégulier, à une double ovulation ou à une survie un peu plus longue des spermatozoïdes dans le corps de la femme. C’est donc une bonne méthode, même si elle n’est pas infaillible.

Les échecs sont souvent dus à un mauvais enseignement ou à une mauvaise compréhension de la méthode. La méthode est applicable même avec des cycles irréguliers. C’est ce qui fait sa force par rapport à tous les appareils basés sur des tests urinaires qui nécessitent des cycles assez réguliers entre 25 et 32 jours. Une méthode qui accompagne les femmes… tout au long de leur vie de femme

•    Après un accouchement, la plupart des femmes ont une période d’infertilité naturelle qui se prolonge pendant plusieurs mois si le bébé est allaité. La méthode Billings permet de reconnaître ces mois d’infertilité, permettant ainsi de vivre une relation conjugale, sans anxiété concernant des effets secondaires des contraceptifs hormonaux sur le lait maternel. De même, si vous n’allaitez pas votre bébé après sa naissance, ou si vous avez fait une fausse couche, vous pouvez utiliser les signaux donnés par la glaire pour reconnaître le changement de l’infertilité vers une fertilité possible.

La fertilité revient habituellement environ six semaines après la naissance si vous n’allaitez pas.

•    Après l’abandon d’une contraception hormonale, il arrive qu’il n’y ait aucun signe de fertilité avant plusieurs semaines, voire plusieurs mois.

La méthode Billings permet de reconnaître les signes d’une ovulation lorsque le col de l’utérus a retrouvé sa fonction, produisant à nouveau la glaire qui aide à la survie des spermatozoïdes.

•   Au moment de la ménopause, le passage de la fertilité à l’infertilité est graduel et étalé sur une période de temps assez longue. Les femmes sont souvent dans l’incertitude de leur fertilité, ce qui occasionne parfois du stress et peut perturber les relations conjugales. La méthode Billings peut fournir une sécurité pendant cette phase de fertilité changeante.

La méthode qui permet de protéger son appareil reproductif

C’est aussi l’un des avantages non négligeables de la méthode de John Billings. L’observation de la glaire cervicale est un excellent baromètre de la santé de l’appareil reproductif.

Les processus inflammatoires sont la deuxième cause la plus fréquente d’infertilité. Les MST, par exemple, causent des inflammations, infectant les organes génitaux. L’observation régulière de la glaire cervicale permet de rapidement identifier une anomalie et de chercher un traitement qui pourra éviter des désordres de la fertilité.

Les polypes ou les fibromes peuvent être repérés par l’analyse visuelle de la glaire, car ils peuvent parfois saigner légèrement. Toute découverte, à un moment inhabituel du cycle, de sang dans la glaire doit être signalée à votre thérapeute.

Les cancers du col, de l’utérus ou des ovaires peuvent être décelés dans la glaire cervicale.En observant régulièrement la glaire, on peut distinguer facilement une sécrétion inhabituelle ou un saignement, qui peuvent être des symptômes de cancer du col de l’utérus ou de l’utérus.

Les saignements intermenstruels, ou après la ménopause, doivent être des signes à ne pas négliger.

Il est important de se rappeler que beaucoup de ces symptômes peuvent être aussi les signes de situations moins graves. Néanmoins, consultez votre thérapeute et faites des examens si nécessaire. Une détection précoce peut faire toute la différence !

Des avantages vraiment fondamentaux

La méthode Billings est 100% naturelle, écologique et respectueuse de l’environnement. Sans médicaments, elle est non-invasive, elle n’a pas d’effets secondaires et est sans risque pour la santé à long terme. Elle s’applique à toutes les étapes de la vie reproductive, elle est peu coûteuse et facile à apprendre. Elle protège la santé de l’appareil reproductif, rend la femme autonome et renforce même les relations de couples. La méthode Billings procure à la femme la certitude de sa fécondité et sa maîtrise, elle est l’expression du respect de l’autre, de la nature et de la possibilité de donner la vie.

Les 4 règles simples de la méthode de l’ovulation Billings

La méthode de l’ovulation Billings comporte seulement quatre règles simples qui sont applicables dans toutes les circonstances et à toutes les étapes de la vie reproductive:

Les règles d’avant-Sommet s’appliquent aux jours qui précèdent l’ovulation

Règle No 1 d’avant-Sommet 

Pas d’union pendant les jours de saignement menstruel abondant
Dans un cycle court, en effet, la fertilité peut commencer avant que le saignement ne cesse et la présence de la glaire qui indique la fertilité pourrait être masquée par le saignement.

Règle No 2 d’avant-Sommet 

Dès lors que le Profil d’Infertilité de Base a été reconnu, une union est possible un soir sur deux, au coucher

Vous attendez jusqu’au soir pour que vous puissiez être sûre qu’il n’y a pas eu de changement par rapport à votre PIB. Vous devez être debout et en mouvement depuis quelques heures pour que la glaire puisse s’écouler vers le bas jusqu’à la vulve où vous la ressentirez. La raison d’un soir sur deux est que le lendemain d’une union, vous pouvez vous sentir humide et voir un écoulement de liquide séminal qui peut masquer un changement du profil de glaire. Le liquide séminal détecté le lendemain d’une union ne contiendra pas de spermatozoïdes vivants.

Ainsi, même si la glaire commence dans les heures qui suivent une union, il n’y aura pas de spermatozoïdes capables d’atteindre l’ovule et de le féconder.

Règle No 3 d’avant-Sommet 

A tout changement par rapport au PIB, vous devez attendre pour voir ce qui va advenir
Attendre sans avoir d’union lorsqu’il y a un changement par rapport au PIB vous permet d’observer si ce changement conduit au Sommet ou à un retour au PIB. Un changement par rapport au PIB indique une fertilité potentielle et la possibilité de survie des spermatozoïdes.

Si le Sommet est observé, la règle du Sommet peut être appliquée. S’il y a un retour au Profil d’Infertilité de Base, vous devez attendre pendant 3 jours de PIB et utiliser ensuite la règle No 2 d’avant-Sommet à partir du quatrième jour au soir. Attendre pendant 3 jours après le retour du Profil d’Infertilité de Base donne l’assurance que les hormones sont revenues à leur niveau de base et que le col de l’utérus est bien fermé.

La règle du Sommet est appliquée une fois que le Sommet a été reconnu

La règle du Sommet

À partir du quatrième jour au matin après le Sommet, les unions sont possibles tous les jours, à tout moment, jusqu’à la fin du cycle

Attendre jusqu’au quatrième jour après le Sommet laisse le temps à l’ovulation d’avoir lieu et tient compte de la durée de vie de l’ovule. Vous êtes infertile pour le reste du cycle parce que l’ovule est mort et qu’il n’y aura pas d’autre ovulation avant la menstruation suivante.

Pour éviter une grossesse vous devez appliquer les règles d’avant-Sommet et la règle du Sommet.

Pour favoriser une grossesse vous devez appliquer les règles d’avant-Sommet afin d’identifier correctement le début de la période potentiellement fertile. Une fois que vous remarquez un changement par rapport à votre Profil d’Infertilité de Base (PIB), vous devez alors vous abstenir d’unions jusqu’à ce que vous remarquiez la sensation de « glissant », qui indique que vous êtes au maximum de fertilité et que l’ovulation est imminente. Les unions les jours où la femme ressent cette sensation à la vulve, où la vulve est gonflée, ainsi que les deux premiers jours après le Sommet vous donneront la meilleure chance de concevoir.

Pour en savoir plus voici le site de l’association qui enseigne la méthode : www.billingslife.fr

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