1er
Le 1er article de la rentrée en cours…
1 an que j’ai commencé à vivre le vrai amour.
Merci Seigneur pour cette grande grâce que tu nous as faite, mon épouse et moi.
Je me rappel encore de vous qui étiez là, et de vous tous qui nous avez soutenus à distance. Que les bénédictions continuent de pleuvoir sur vous.
Après 1 an, qui n’est ni beaucoup, ni peu, je vous affirme que c’est une merveilleuse expérience de vie que d’être en couple après la bénédiction de Dieu. La main de Dieu est toujours la pour conduire le couple quand vous lui êtes fidèle.
J’invite tous ceux qui n’y sont pas encore, d’en demander la grâce au Seigneur, pour vivre cette sublime expérience.
Père Éternel Dieu Tout Puissant je te présente cette personne qui est entrain de lire ces quelles-que lignes en ce moment et je te demande au Nom de ton Fils Jésus-Christ de la bénir abondamment et surtout de lui accorder la grâce du mariage religieux devant Toi et devant les hommes si elle ne l’a pas encore, et si elle l’a déjà fortifie son foyer. Accorde lui ce dont elle à besoin et qui répond à ta volonté.
Amen
Les conséquences de la contraception moderne
La « contraception » est un certain nombre de dispositifs (préservatifs, implants, pilules, etc.), et même la contraception dite « d’urgence » et la stérilisation. Ils sont d’autant plus « efficaces » qu’ils empêchent de contracter une grossesse à la suite d’un rapport sexuel.
Le préservatif est le moins fiable des contraceptifs. Avec les meilleurs préservatifs et une utilisation parfaite, il y a un taux d’échec de 15% pour éviter une grossesse à cause de la présence dans le latex de micro pores par lesquels peuvent passer des spermatozoïdes malgré la présence du spermicide dans les capotes. Et le virus du SIDA est 400 fois plus petit qu’un spermatozoïde. [1]
Les contraceptifs « hormonaux » sont les plus à la mode. Il y a plusieurs formes : pilules, patches cutanés, anneaux vaginaux, minipilules, implants sous-cutanés, et injectables. Leur principe d’action est le suivant :
On se rend compte immédiatement au vu des deux derniers principes d’action que ces contraceptifs sont abortifs parce qu’ils détruisent volontairement l’embryon. Cela se passe « automatiquement » et les femmes ne peuvent voir l’avorton encore microscopique à la différence d’un avortement effectué après quelques semaines de grossesse.
Au nombre des effets secondaires qui peuvent disparaître après quelques mois ou rester pendant toute la durée de l’administration, il y a :
De très nombreux cancers, surpoids, hypertensions et autres problèmes cardiovasculaires chez les femmes (pas tous), – et par suite une ruine financière pour la famille pour soigner ces maladies et bien souvent une mort prématurée – pourraient être évités si les femmes utilisaient plutôt les méthodes naturelles, efficaces et sans conséquence fâcheuse sur la santé. De plus, les nombreux malaises et nervosité ne favorisent pas l’harmonie du couple.
Ceux qui promeuvent les moyens de contraception « modernes » prétendent faussement que ces derniers servent à prévenir les grossesses non désirées et par suite le recours à l’avortement qui peut être fatal pour la femme surtout quand il est pratiqué clandestinement. Cependant, c’est le contraire qui se constate. Car une grossesse peut survenir malgré l’utilisation de moyens contraceptifs – aucun contraceptif n’est efficace à 100% –, soit à cause de leur défaillance, soit à cause de leur mauvaise utilisation. Et les utilisateurs passent très facilement de la contraception à la contraception d’urgence et à l’avortement encore appelé pernicieusement « IVG » (Interruption Volontaire de Grossesse).
En France par exemple, une enquête nationale dénommée COCON (COhorte sur la CONtraception) menée de 2000 à 2004 a montré que [2] :
Même l’Alan Guttmacher Institute, la branche scientifique de Planned Parenthood, a reconnu que l’augmentation du taux de prévalence contraceptive s’est accompagnée d’une augmentation du taux d’avortement aux Etats Unis, à Cuba, au Danemark, aux Pays-Bas, à Singapour et en Corée [3]. Il reconnaît aussi qu’aux Etats Unis, 42% des utilisatrices de préservatifs ayant recours à l’avortement citent le glissement ou la déchirure de la capote pendant le rapport sexuel comme cause de leur grossesse « non désirée » [4]. Que dire alors si on veut réfléchir honnêtement sur la lutte contre les grossesses « non désirées », le VIH/SIDA et les IST en particulier chez les jeunes par la diffusion du préservatif ?
Il n’est pas difficile de comprendre que l’accent mis sur la contraception aboutit à la valorisation de la recherche du plaisir, à la déresponsabilisation des conjoints et des jeunes quant à leur sexualité à cause de la confiance qu’ils doivent désormais placer dans les contraceptifs qui ne sont d’ailleurs pas efficaces à 100%, et finalement à faire davantage refuser l’enfant lorsque celui-ci ose se présenter à un moment qui ne convient pas aux parents malgré toutes les précautions « modernes » utilisées pour l’éviter.
La contraception donc, loin de faire reculer l’avortement, se trouve dans son prolongement naturel.
Tout le monde connaît la célèbre phrase de Pierre Simon, franc maçon, ancien grand maître de la Grande Loge de France, et co-fondateur en 1958 du mouvement français pour le planning familial :
« La bataille de la contraception fut beaucoup plus longue et pénible que la lutte pour l’avortement. Une fois la contraception entrée dans les mœurs et reconnue par la loi Neuwirth, l’avortement fut examiné en son temps. L’avenir nous donna raison. Pour inverser une formule célèbre : nous avions gagné la guerre, il ne nous restait plus qu’à livrer une bataille » [5].
Il n’y a pas de solution véritable autre que l’éducation à la chasteté aussi bien chez les jeunes que chez les personnes mariées : abstinence pour les jeunes et fidélité dans le mariage avec l’utilisation des méthodes naturelles de régulation de naissance.
Même en Occident, de plus en plus de voix s’élèvent contre les discours habituels erronés à dessein sur la contraception et la banalisation de la sexualité surtout chez les jeunes [6].
Notons, qu’en distribuant des contraceptifs à des jeunes, en les « conseillant » dans les centres de santé reproductifs, on les fait croire que les rapports sexuels ne sont rien et ne les engage pas ; on pousse ceux qui étaient vierges à « essayer pour voir ». Ils auront désormais une vie sexuelle active et achèteront eux-mêmes des contraceptifs, ce qui est un bon « deal » pour les fabricants. Ceux et celles qui avaient des relations occasionnelles ou régulières vont être renforcés dans leur comportement, convaincus qu’ils n’ont plus rien à craindre. Bientôt, les voilà piégés, déçus de l’amour, sans volonté pour résister aux pulsions, esclaves de sexe qui dévore leur temps et leurs ressources. Les voilà bientôt victimes de maladies cardio-vasculaires, de cancers, du VIH/SIDA, des IST, des grossesses « non désirées », de l’avortement et du syndrome post-avortement [7], inévitables, comme démontré précédemment. Les préservatifs sont d’ailleurs ce qu’ils sont et les jeunes sont les plus exposés à leur utilisation imparfaite et non systématique.
A cela, il faut ajouter les conséquences des déceptions amoureuses qui provoquent des dépressions, le suicide, des échecs scolaires, la perte de confiance en soi et aux personnes de l’autre sexe nécessaire pour contracter mariage ultérieurement, la difficulté d’être fidèle dans le mariage en raison de l’habitude contractée de multiplier les partenaires, le triste sort de se retrouver « fille mère » et à la charge des parents, le problème social et psychologique des enfants nés hors mariage, etc., etc.
Les conséquences pour les familles déjà constituées sont énormes car ces jeunes auront aussi comme partenaires sexuels des personnes déjà mariées, entrainant tôt ou tard des divorces. Ce sont autant de faits qui nous maintiennent dans le sous-développement.
Même en dehors de toute considération religieuse, un regard honnête sur les conséquences de la licence sexuelle chez les jeunes, par la mise à leur disposition de contraceptifs est un mal social qu’il faut combattre courageusement avec l’appel de saint Paul :
« Fuyez la fornication ! Tout péché que l’homme peut commettre est extérieur à son corps ; celui qui fornique, lui, pèche contre son propre corps. Ou bien ne savez-vous pas que votre corps est un temple du Saint Esprit, qui est en vous et que vous tenez de Dieu ? Et que vous ne vous appartenez pas ? Vous avez été bel et bien achetés! Glorifiez donc Dieu dans votre corps » (1 Corinthiens 6, 18-20).
C’est pourquoi, les parents, premiers responsables de l’éducation de leurs enfants doivent se préoccuper d’avoir eux-mêmes une information correcte sur la sexualité et la contraception. Ils devront éveiller la conscience de leurs enfants au sens de l’amour vrai, du respect de son corps, de l’autre, de l’abstinence avant le mariage, et des dangers de tous ordres d’une sexualité désordonnée avec ou sans contraceptifs.
Les parents d’élèves, professeurs, directeurs d’établissements doivent, seuls ou en association, s’opposer de toutes leurs énergies à ce que leurs élèves ne soient pas endoctrinés par ces ONG criminelles qui tentent de plus en plus vulgariser les contraceptifs à l’école.
On vous dira qu’à la fécondation ce n’est pas encore le statut humain
Dès la fécondation, le zygote est un être humain unique. Il ne peut en aucun cas devenir un chien, un cheval ou un âne. Il ne sera jamais rendu humain s’il ne l’est pas dès le départ. Il est absolument humain. La vie humaine est sacrée, car dès son origine, elle engage directement l’action créatrice de Dieu qui crée toujours immédiatement l’âme immortelle pour le nouvel être formé par la fécondation.
Dès lors, mettre volontairement fin à la vie des plus faibles et des plus innocents d’entre nous, parce qu’encore dans le ventre de leur mère et entièrement confiés à leur protection – que ce soit à cause de l’utilisation des contraceptifs, pilules du lendemain ou par l’avortement direct – est un crime abominable, un péché gravement contraire au 5ème commandement :
« Tu ne tueras pas » (Exode 20, 13).
Sont aussi coupables de ce péché mortel tous ceux qui collaborent directement à ce meurtre.
L’utilisation de tous les contraceptifs hormonaux, des stérilets et des pilules du lendemain sont plus graves encore parce qu’ils sont abortifs. Tous les contraceptifs poussent d’ailleurs les conjoints (ou les partenaires) à choisir l’avortement direct en cas d’échec. De plus, l’effet des contraceptifs sur la santé n’est pas à négliger, car la vie et la santé sont un don de Dieu dont il faut en prendre grand soin. Enfin, la mentalité contraceptive favorise l’adultère, la fornication, la dislocation des foyers, la banalisation de la femme et finalement les violences faites aux femmes.
Sont également en état de péché mortel – et ne peuvent donc pas communier –, tous ceux qui coopèrent directement à ces péchés graves (propagandistes, prescripteurs, pharmaciens, vendeurs, etc.).
Les conjoints qui sont sous contraceptifs, de même que tous ceux qui vivent en état de péché grave (fornication, adultère, concubinage, prostitution, pornographie, masturbation, homosexualité, etc.) doivent savoir qu’ils NE DOIVENT PAS COMMUNIER avant d’avoir reçu la confession ou d’avoir régularisé leur situation.
La paternité et la maternité responsables impliquent chez les parents une prise en compte consciente du nombre des enfants, du devoir de les élever, de les soigner, de les nourrir, de les scolariser, de les éduquer, etc., en tenant compte de leur santé, de leurs ressources économiques et de leurs occupations socio-professionnelles.
Pour atteindre cette fin, les méthodes dites « de régulation naturelle des naissances » doivent être utilisées [8]. Elles offrent de nombreux avantages et ne sont pas abortives contrairement à la plupart des contraceptifs.
Découvrez en cliquant ici une Méthode de régulation naturelle des naissances.
Notes :
[1] Cf. National Institute of Allergy and Infectious Diseases, National Institutes of Health, Department of Health and Human Services, Workshop Summary : Scientific Evidence on Condom Effectiveness for Sexually Transmitted Disease (STD) Prevention, 2010.
[2] Cf. Nathalie Bajos et al., « Pourquoi le nombre d’avortements n’a-t-il pas baissé en France depuis 30 ans ?« , in Populations et sociétés, n° 407, Décembre 2004.
[3] Cicely Marston and John Cleland, “Relationships Between Contraception and Abortion : A Review of the Evidence”, International Family Planning Perspectives, Volume 29, Number 1, March 2003. La baisse du taux d’avortement qu’il y aurait lorsque le taux de fécondité est constant avancé par l’article est très controversée.
[4] Rachel K. Jones, Jacqueline E. Darroch and Stanley K. Henshaw, “Contraceptive Use Among U. S. Women Having Abortions in 2000-2001”, Perspectives on Sexual and Reproductive Health, Volume 34, Number 6, November/December 2002.
[5] Pierre Simon, De la vie avant toute chose, Edition Mazarine, 1979, p. 98.
[6] Les associations de parents d’élèves et les auteurs que l’on peut citer sont légion. Un livre récent : Thérèse HARGOT, Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque), Albin Michel, 2016.
[7] Le Syndrome Post Avortement (PAS) est le nom donné par les psychologues aux différents symptômes psychiques qui surviennent quelques temps après l’avortement. Ce syndrome sans solution psychothérapeutique affecte en premier lieu les femmes qui ont avorté mais aussi les hommes, les médecins et le personnel soignant ayant collaboré à ce crime abominable. Chez la femme, laissée à elle-même : pleurs incontrôlables, dépression, mélancolie, changements d’humeur, nervosité, inquiétude constante, dégoût de soi, sentiments de culpabilité, crise d’identité, sentiment d’échec, difficultés à se concentrer, peur, cauchemars, audition de voix d’enfants, de bébés qui pleurent, etc., etc.
[8] Cf. Pape Paul VI, Encyclique Humanae vitae sur le mariage et la régulation des naissances.
[9] Pour ce article je me suis servi de « Ce qu’on ne vous a jamais dit sur la contraception » écrits de Abbé Jean Emmanuel KONVOLBO,
Prêtre catholique
Professeur d’Écriture Sainte et de langues bibliques
Grand Séminaire Saint Jean-Baptiste de Wayalghin
Site web : http://konvolbo.org
L’âme sœur ?
L’expression âme sœur nous est familière, mais qu’est-ce que nous-y mettons ?
C’est cette question qui m’a amené à faire des recherches et j’ai trouvé cette explication :
L’âme sœur est un concept qui évoque une compatibilité amoureuse qui serait parfaite entre deux individus. C’est la personne avec laquelle on a de fortes affinités sentimentales.
Je continu mes recherches cette fois ci en me tournant vers vous.
Et j’aimerai savoir auprès de vous qui me lisiez ce que vous entendez-vous âme sœur.
Merci de me répondre en commentaire.
Voici mon cadeau pour la Saint Valentin
A l’occasion de la Saint Valentin je vous propose un cours sur « Le mariage et le foyer » composé d’une introduction et de 9 leçons à suivre en 1 mois, à raison d’un cours chaque 3 jours pour pouvoir mieux s’appliquer.
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Alors profitez-en
Les conséquences de la pornographie
Aujourd’hui je veux partager avec vous les conséquences de la pornographie aussi bien sur l’homme, la femme, que sur le couple. J’ai fait des recherches sur internet et j’en retire pour vous la synthèse ci-dessous.
Je n’ai pas voulu faire des développements donc j’ai fait une liste de puce.
La bonne nouvelle, c’est qu’on peut en sortir! Que ça soit soit vous ou un proche, sachez que Jésus-Christ peut vous restaurer.
Revenez à Jésus-Christ, Il est la solution.
Tu peux me contacter si tu as besoin d’orientation.
5 astuces importantes pour éviter le sexe jusqu’au mariage
Le contrôle de soi est l‘un des aspects essentiels de notre croissance. Un petit enfant peut très bien taper du pied ou se mettre à crier s‘il n’obtient pas ce qu‘il veut, mais une personne adulte ne se conduit pas de cette manière. La maîtrise de soi est nécessaire dans la vie du couple, c’est pourquoi Dieu nous donne, dès notre jeunesse, l’occasion de la cultiver. Sa Parole nous apprend:
« Il faut donc que l’évêque soit irréprochable, mari d’une seule femme, sobre, sensé, sociable, … » (1 Timothée 3.2).
Satan essaie tout particulièrement de tenter les jeunes dans le domaine sexuel. Garçons et filles ressentent des impulsions et des désirs profonds représentant tous l’une des caractéristiques nécessaires au développement de leur corps, mais ils doivent être contrôlés.
N’essayez pas de prétendre que ceci est impossible ! Dieu ne vous a-t-Il pas donné un esprit qui vous différencie des animaux ? Pourquoi vous laisser asservir par vos sentiments ? Voici ce que le Seigneur a mis à votre disposition afin de vous aider à vous contrôler :
En plus de tout cela, le Seigneur vous aidera Lui-même à vous rendre maître de vos désirs, si vous le Lui demandez.
« Fuis les passions de la jeunesse et recherche la justice, la foi, l‘amour, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un cœur pur » (2 Timothée 2.22).
Le désir de faire le mal prend naissance dans nos pensées. Plus vous songez à la tentation, plus le désir d’y céder s‘affermit en vous. C’est pourquoi il est absolument indispensable que vous sachiez contrôler vos pensées.
Mais chacun est tenté, parce que sa propre convoitise l’attire et le séduit. Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, parvenu à son terme, engendre la mort (Jacques 1.14-15).
De nombreuses pensées jaillissent à l’ouïe de certaines conversations. N’écoutez donc pas les plaisanteries douteuses, les histoires malpropres, et ne vous engagez pas dans des discussions qui pourraient vous conduire à une vie immorale.
« Que l’inconduite, toute forme d’impureté, ou la cupidité ne soient pas même mentionnées parmi vous, comme il convient à des saints » (Ephésiens 5.3)
La tentation trouve parfois sa source dans ce que nous voyons autour de nous. Lorsque Satan poussa Adam et Eve à goûter au fruit défendu, il encouragea premièrement la femme à regarder le fruit ; il lui parla ensuite de son goût délicieux et c’est ainsi qu’Eve en mangea et en donna à son mari. Tous deux furent punis pour avoir désobéi à Dieu.
Le diable tente toujours les gens en les poussant à jeter leurs regards sur des éléments qui suscitent en eux la convoitise. Il se sert pour cela de photos indécentes, de livres ou brochures à caractère pornographique, de certaines danses ou façons de s’habiller qui sont plus ou moins suggestives. Ne le laissez pas vous persuader de regarder au fruit défendu.
Veillez avec soin sur vos pensées et ne leur permettez pas de vagabonder. Si le mal vient soudain vous préoccuper, chassez-le de votre esprit ; pensez à autre chose ou bien trouvez une occupation qui fera travailler votre intelligence.
« Que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l‘approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées » (Philippiens 4.8).
Si vous voulez résister à la tentation, veillez à faire deux choses : évitez-la autant que possible et refusez de lui céder lorsqu’elle se présente à vous. Ne vous placez pas dans des endroits et des situations qui vous tenteront de faire le mal.
Une trop grande familiarité entre hommes et femmes peut également conduire à la tentation.
Restez donc en termes amicaux avec les membres du sexe opposé, traitez-les avec respect et attendez-vous à ce qu’ils vous respectent aussi.
Si vous êtes en contact plus intime avec quelqu’un, observez les règles établies par Dieu et non celles que prônent les films. Apprenez à respecter le partenaire que vous avez choisi. Essayez de développer le genre de relation qui approfondira votre respect mutuel, et qui en même temps sera agréable à Dieu. Évitez le genre de familiarité qui vous fera perdre ce respect et qui attisera vos passions. Il est évident que se laisser aller aux caresses, c’est jouer avec le feu. Évitez donc la tentation, et ne donnez pas à Satan l’occasion de vous inciter à vous abandonner à « cette liberté » qui ne peut que vous conduire à la honte et à l’échec spirituel.
La Bible nous raconte l’histoire de Joseph, un jeune homme qui aimait Dieu. En fuyant la tentation, il a su établir un exemple que beaucoup de jeunes pourraient suivre aujourd’hui. Il était esclave dans la maison de Potiphar. Un jour, la femme de son maître voulut l‘encourager à devenir son amant, mais il refusa. Un peu plus tard, alors qu’ils se trouvaient seuls dans la maison, elle tenta de le séduire une fois de plus. Joseph dit alors, « Comment pourrais-je commettre un tel péché et offenser Dieu ? ». Lorsqu’il vit la femme de Potiphar insister, Joseph prit alors la fuite afin d’échapper à la tentation.
La femme de Potiphar se mit dans une telle colère qu’elle l‘accusa faussement et le fit jeter en prison. Mais Dieu prit soin de Joseph. Il le délivra de ses chaînes et le fit devenir premier ministre d’Egypte. Ainsi, les règles de vie morale très élevées de Joseph eurent leur grande récompense. Cet exemple met en valeur un principe sur lequel nous pouvons compter : Dieu bénit ceux qui vivent selon Ses lois.
Ils trouvent étrange que vous ne courriez pas avec eux vers ce débordement de débauche, et ils vous calomnient : ils en rendront compte à celui qui est prêt à juger les vivants et les morts (1 Pierre 4.4-5).
Un amour authentique fait appel au respect et à l’honneur. C’est pourquoi l’homme qui aime réellement une femme pensera d’abord au bien personnel de cette dernière, à sa réputation, plutôt qu’à ses propres désirs. Il ne voudra en aucun cas la mettre enceinte avant son mariage. L’amour véritable invite donc au contrôle de soi.
Sachez cependant ne pas vous appuyer uniquement sur cette force-là. Il est toujours plus sage d’éviter la tentation. Attendez d’être mariés avant de vous livrer aux caresses intimes réservées au couple.
Certains hommes essaient de convaincre la jeune fille qu’ils disent aimer, qu’elle doit leur laisser faire tout ce qu’ils veulent, comme preuve de son amour. Sachez, jeune fille, qu’un tel compagnon ne fera pas ce genre de demande par amour véritable, mais bien par égoïsme pur et simple.
Votre amour envers la personne avec laquelle vous désirez vous marier vous aidera également à ne pas vous engager trop loin avec d’autres hommes ou femmes. Vous savez que vous pourrez jouir d’une vie conjugale plus heureuse si vous, et votre partenaire, vous êtes gardés purs l’un pour l’autre. C’est pourquoi même vos plans de mariage vous aideront à éviter l’immoralité.
Ce que Dieu veut, c’est votre sanctification ; c’est que vous vous absteniez de l’inconduite ; c’est que chacun de vous sache tenir son corps dans la sainteté et l’honnêteté, sans se livrer à une convoitise passionnée comme font les païens qui ne connaissent pas Dieu (1 Thessaloniciens 4.3-5).
Pour pouvoir surmonter la tentation en n’importe quelles circonstances, vous devez pouvoir compter sur la puissance de Dieu. Seul le Seigneur vous aidera à contrôler vos pensées et vos actes. Si vous cherchez à agir sans Lui, un jour ou l’autre, le péché à l’œuvre dans votre cœur se manifestera par de mauvaises pensées ou un comportement coupable.
« Car c’est du cœur que viennent les mauvaises pensées, meurtres, adultères, prostitutions, vols, faux témoignages, blasphèmes » (Matthieu 15.19).
Livrez votre vie entière au Seigneur. Demandez à Dieu de pardonner chacune de vos fautes et de vous aider à vivre comme il se doit.
Jésus-Christ est venu nous délivrer de tout péché. Beaucoup de jeunes, autrefois incapables de vivre une vie sans tache, ont été complètement transformés par la puissance de Dieu. Ils vivent maintenant une vie pure et heureuse.
Satan continuera à vous tenter, même si vous avez fait l’expérience du salut. Cependant, avec la Parole de Dieu pour vous conduire et la puissance du Seigneur pour vous assister, vous serez capable de surmonter toute tentation.
« Afin de vivre, non plus selon les désirs humains, mais selon la volonté de Dieu pendant le temps qui lui reste (à vivre) dans la chair » (l Pierre 4.2).
3 raisons pour lesquelles vous deviez respecter sexuellement votre corps
Dieu vous a fait grâce de votre corps et Il veut que vous respectiez ce corps qu’Il vous a donné et que vous le traitiez de manière à L’honorer, Lui. Vous devez être pur à la fois physiquement et moralement pour les trois raisons suivantes :
Depuis que vous appartenez à Dieu, vous êtes devenu Son temple, c’est-à-dire l’endroit où Il habite. Cela signifie donc que vous avez la responsabilité solennelle de garder votre corps saint, car l’Esprit de Dieu vit en vous (l Corinthiens 3.16-l7). Et bien que vous ayez d’autres responsabilités en tant que chrétien, comme votre famille et le soin de votre santé, votre première responsabilité est de faire en sorte de demeurer comme un vase saint, pur et sanctifié, un lieu approprié où Dieu puisse habiter.
La Bible met en garde les jeunes gens qui voudraient fréquenter les prostituées ou les femmes aux mœurs légères. Elle interdit formellement toute relation sexuelle en dehors du mariage, ainsi que l’homosexualité ou toute autre forme de perversion sexuelle.
Lisez attentivement 1 Corinthiens 6.15-17, 19.
Remarquez quelles peuvent être les conséquences lorsque les principes de la pureté sont ignorés. D’abord, les personnes immorales contractent souvent des maladies vénériennes. De telles maladies ruineront non seulement votre santé, et celle de votre conjoint, mais elles vous causeront aussi de la honte, ainsi que des tares permanentes, transmises par les parents aux enfants. Ceux-ci risquant la cécité, de sérieuses maladies mentales et d’autres désordres physiques importants.
Lorsque c’est une grossesse qui résulte de l’immoralité, la jeune femme risque de devoir élever l’enfant avec beaucoup de difficultés en dehors des liens du mariage, sans la sécurité qui résulte normalement d’une union légitime. Tout enfant a besoin d’un foyer dans lequel il pourra bénéficier de l’attention et des soins de ses parents.
Ne pensez surtout pas que le manque de relations sexuelles avant le mariage vous sera nuisible.
Le fait de garder les valeurs morales établies par Dieu vous sera beaucoup plus bénéfique que l’indulgence envers vous-même. Le livre des Proverbes, dans la Bible, a quelques bons conseils à nous donner à ce sujet.
Lisez attentivement Proverbes 7.1 à 27.
Quand bien même une personne ne contracte pas de maladie vénérienne, le fait de s’engager dans des relations sexuelles avant le mariage présente pour elle d’autres dangers. La femme court toujours le risque d’une grossesse non désirée. L’homme, comme sa compagne d’ailleurs, verra son système nerveux ou même sa santé s’altérer à cause du sentiment de culpabilité ou de crainte, provoqué par de telles relations. On redoute une grossesse, on a peur de ce que les autres pourraient découvrir, on craint les conséquences inattendues de toute l’affaire, ou enfin le châtiment réservé à ceux qui se permettent d’enfreindre les mœurs sociales et les lois de Dieu.
Il est également clair que toute désobéissance aux lois divines entraîne la maladie et la mort spirituelle. Veillez par conséquent à demeurer pur en pensant au bien de votre santé physique, mentale et spirituelle.
« Fuyez l’inconduite … celui qui se livre à l’inconduite pèche contre son propre corps » (l Corinthiens 6.18).
Profiter merveilleusement de l’amour est le désir de toute être humain. J’ai alors décidé de vous faire part de quelques notions dans une série d’article.
Les standards divins du bien et du mal sont destinés à rendre les enfants de Dieu capables et à même de vivre la vie dans toute sa plénitude. La première épître aux Corinthiens 9.24-27 que voici :
Ne savez-vous pas que les concurrents dans le stade courent tous, mais qu’un seul remporte le prix? Courez de manière à le remporter. Tous les athlètes s’imposent toutes sortes de privations, et ils le font pour obtenir une couronne qui va se détruire; mais nous, c’est pour une couronne indestructible. Moi donc, je cours, mais pas comme à l’aventure; je boxe, mais non pour battre l’air. Au contraire, je traite durement mon corps et je le discipline, de peur d’être moi-même disqualifié après avoir prêché aux autres.
nous rappelle que l’athlète se soumet à une discipline très stricte avant d’être préparé pour la course. Parce qu’il court pour obtenir un prix, il se refuse certains plaisirs immédiats avant de pouvoir en recevoir un bien plus grand.
Dans la relation qui existe entre un homme et une femme, les standards divins ne sont pas là pour leur refuser tout plaisir, mais ils existent pour les diriger vers le plus grand plaisir possible.
Dieu a créé l’homme avec des appétits naturels, certains parmi ceux-là trouvent leur expression dans l’union sexuelle, mais Sa Parole affirme que cette intimité est réservée pour les liens du mariage.
Généralement, un mari et une femme, dont les vies reflètent la discipline et l’altruisme, adopteront ce modèle de conduite avant leur mariage. Ceux qui, avant de devenir maris et femmes, s’adonnent à des plaisirs immédiats, le font au prix de contraintes morales et en porteront des cicatrices qui ne guérissent parfois jamais.
Dans des articles à venir, je vous montrerai comment ceux qui prennent les lois de Dieu à la légère se trouvent privés du plus grand plaisir, du meilleur prix que Dieu a en réserve pour eux.